2 Mars 2011
Un rêve s'écroule
Plongeant dans un abîme
Où rien ne coule
De la trop lointaine cime
Je le sentais comme un tronc
Ce n'était qu'une branche
Trop fragile pour un con
Comme moi qui flanche
Casser ce rêve?
J'ai un doute.
Restera t-il comme une brève?
Me laissant au bord d'une route
Où rien ne passe
Sauf des corbeaux voilés
Où tout trépasse
à part le ciel étoilé
Cultiver d'autres rêves
Sans graine
Au cœur de la grève
Sans haine
Dans les flux Humains
Dont la jeunesse
Nous tend la main
D'où qu'elle soit avec finesse...
Parler de rêves avant d'aller se coucher, quoi de plus normal, pour un rêve qui s'écroule combien naissent ? je le saurai demain...