on en est tous là souvent cycliquement à toucher un fond, puisse t-il être toujours moins profond les fois suivantes, mais la nécessité d'avoir un appui pour refaire surface est indéniable. il est là le fond, tout proche et toujours trop sombre, à verser des larmes de désespoir. on rempli tous des océans de larmes, si ce n'est pas les notre ce sont celles des autres qu'on laisse dans l'indifférence... et on a toujours meilleur conscience quand on ne pleure pas soit même, on peut penser que tout va bien...
ce fond vers lequel on tend toujours plus vite que vers les sommets... foutue gravité !
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