28 Octobre 2011
Peut être n'y a t-il pas obligation de réponse quand on écrit dans des institutions ou des assemblée. Ou, peut-être même comme on me le rapportait il y à quelques années: " on ne va pas s'abaisser à répondre à ça" et toc... Ceci dit, si on ne répond pas à des questionnements clairement identifiés, des lettres anonymes sont lues en séances publiques de conseil municipal. Mais c'est du passé. Vous savez, le passé, celui qu'on vous dit d'oublier, comme s'il vous était plus facile de ravaler vos convictions, idées et projets... On voudrait vous forcer à l'oubli alors qu'on vous tient rigueur de tout... Soit...
Ou le passé, comme celui évoqué par des néo réactionnaires de la cause locales, le passé on s'en fout ! ou mieux, les gauchiste qui lisent des livres ne peuvent pas voir loin avec un livre devant les yeux... Et l'on ne vas tarder à voir des nuées de mouches (à merde) grossir le tas nauséabond d'idées de poujadistes de bas fonds... Bref, je ne vais pas plus m'attarder à écrire sur des gens aux QI de bulots cuits... ça me navre suffisamment comme ça, j'aimerai les oublier mais justement mon psychisme ne me conduit pas à l'oubli, ce qui est comme je le disais il y a déjà un moment, l'oubli est la force des faibles...
Il y a quelques temps, j'écrivais ces lignes dans les collectivités locales: construction de toit, construction de soi !, certes, je ne l'ai pas envoyé en papier lettre, voire en recommandé, mais par simple courriel... Dix-sept courriers identiques envoyés le 10 octobre et à ce jour, 28/10, pas une esquisse de réponse. Pas un "nous avons reçu votre..."; par un "votre courrier a attiré notre attention..."; rien, nada, queud, oualou...