maintenant qu'un océan nous sépare
je mesure un vide,
comme un sentiment trop rare
d'où vient une pensée limpide.
Ces détails qui ébranlent le monde...
Ma flamme vacille sous le souffle
des alizés qui vous caressent la peau,
jaloux, que des sentiments ne fondent
avant que je ne m'essouffle
de courir après des sirènes sans appeau
Mon coeur vibre de ce sang chargé
comme un ode à l'ivresse
de vouloir avec vous, un temps partagé,
habillé de raffinement et de finesse.
Mon corps tremble comme une corde
d'une guitare à la musique lancinante
j'ai peur que de ma tête ne déborde
un flot de mots pour vous ma fascinante.
Ces détails qui ébranlent mon monde...
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al3es 19/12/2010 09:29
Bastos 19/12/2010 02:31