27 Janvier 2013
Il faut que je vous dise, j'ai du lourd à partager, du questionnement, j'en reviens à la réunion publique dont je vous livre ma transcription... Les révsions simplifiées du POS (de 2001) ont pour but de préserver les intérêts vitaux de la commune, sûrement liés aux exigences actuelles évoquées dans la délibération pour le PLU. Les ZAC, des Costils, de la Lande et du Siquet. Si le syndicat mixte du Cotentin à la responsabilité de la ZAC des Costils, la procédure est simple pour cette zone car la destination finale des terrains n'est pas modifiée. Pour la ZAc de la Lande et du Siquet une révision simplifiée sera faite. Quelques modifications de zonage et dans le règlement vont cadrer l'urbanisme de la ville. Plusieurs projets sont de fait bloqués par l'annulation du PLU, les terres sont redevenues agricoles.
Quel concours sera permis et entendu dans la future enquête publique ? Alors que le Maire dit que tout semble être plié d'avance. Je me demande alors pourquoi toute cette gesticulation si elle ne sert à rien sur le fond. On fait ça pour la forme. Circulez, il n'y a rien à dire, à faire... Suis-je bête, c'est le cas dans toute enquête publique, non ? Tout est toujours plié d'avance. LE nom de la nouvelle zone sera 2NAz. À noter au passage une diapositive qui est passée bien vite sur une zone 2NAL sur Sciotot. Ça n'a pas finit de jaser !!!
Pourquoi vouloir agir sur les textes qui régissent l'urbanisme sur la ville ? PArce que si d'un côté on prépare des textes, des règlements, des lois pour prendre en compte les problématiques envronnementales, c'est à mon sens au plus petit échelon de la démocratie qu'il faut agir pour traduire ces textes dans le quotidien des porteurs de projets. L'urbanisme est de compétences communale. Et je crains que le PADD ne soit encore traité par dessus la jambe... Et je ne sais pas où agir... Selon le Maire le Préfet a validé le projet, il ne sera pas remis en caus. Eh bien soit j'en aparlerai au préfet dans des temres que je vous dirai aussi.
Pour avoir tenté ces dernières années d'évoquer avec le premier magistrat ces problématiques, rien n'y a fait... Et si rien n'est possible, je vais m'opposer, plus fermement... Pire le Maire me répond une de ces phrases passe partout, "les conseilleurs ne sont pas les payeurs", soit, mais lui se paye avec la bourse communale des batteries de conseils, il a une administration à son service et des apôtres conseillés qui sont, lors de la réunion tous restés muets à l'exception et fort heureusement de l'adjoint à l'urbanisme.
Au final, je ne sais pas où se situe le fond du problème ? Le ou les débats sur celui-ci étant toujours reportés dans un ailleurs qui n'existe pas, et dans un temps qui passera trop vite. Au passage sur le temps qu'il fait, le Maire se réjouit du temps pourri qu'il a fait, les travaux n'auraient de toute manière pas commencer. Ouf, sauvés par la météo, pour une fois.