Te retenir, jouir de mille plaisirs/ Comme un desir,/ Dont je me laisse envahir.../
L'age du ménage, état d'un autre age?/ Comme otage, bien sages/ Mais je te préfère sauvage.../
T'es comme un mythe, avec tous ses rites,/ sur lequel je cogite/ Pour donner ce que tu mérites.../
Ton absence? Un silence, une carence/ Une porte vers la décadence/ Ouverture pleine d'arrogance.../
Peur de la douceur de ton regard,/ Faiblesse des temps de retards/ Otant l'idée d'être peinard.../
Sensuelle à canaliser le fou,/ Belle alchimie du mois d'août/ Merci beaucoup...
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christophe 12/09/2007 01:34